GARE AUX CONS
Un bon exemple de manières de parler des jeunes actuels français
GARE AUX CONS
Tout à l'heure
Je roulais sur mon scooter dans Paris
D'une voiture, au feu rouge, un mec me dit :
«Eh madame il est quelle heure ?»
Je lui réponds : «Midi»
Il me dit : «Madame qu'est ce que t'es bonne !
Tu veux pas m'faire une gâterie ?»
Ses potes rigolent
Sur le moment j'ai pas compris
Je réponds : «Mon grand,
C'est pas comme ça qu'on parle aux gens
Tu n'aimerais pas qu'on parle comme ça à ta maman»
Le mec me r'garde
Avec une tête de chien d'garde
Il m'fait : «Vas-y parle pas d'ma mère ou j'te défonce»
J'lui réponds : «Du calme Alphonse !
J'te connais pas, tu m'agresses
C'est quoi ce manque de délicatesse ?
On t'a pas dit d'traiter les femmes comme des princesses ?»
Il me dit : «Ouais, mais toi j'te baise !»
Je lui dis : «Ben nan justement
C'est bien ça l'malaise»
Tu sais que...
{Refrain, x2}
Garçon
Si t'enlèves la cédille
Ça fait gar-con
Et gare aux cons ma fille
Gare aux cons
Gare aux cons
Gare aux cons
Qui perdent leur cédille
Di di doum
Di di dam
Di di di di di di
J'continue mon chemin
Au feu suivant
J'entends : «Hé grosse cochonne !
Quand tu veux j'te prends»
C'est encore Alphonse avec sa tête de gland
Je lui dis : «Là tu t'enfonces, c'est indécent
J'y crois pas, mec, redescends d'ta planète
Tu t'prends pour Tony Montana
T'as même pas d'poils sur la quéquette !»
Il m'dit : «Vas-y, sois pas vulgaire
Tu vas voir où je vais t'la mettre !»
Je lui dis : «C'est moi qui suis vulgaire ?
Non mais là c'est la fête !
Je rêve, pour qui tu t'prends ?
Maintenant tu t'arrêtes !»
Je descends, il descend,
J'dis : «C'est l'bordel dans ta tête !
Qu'est-ce que tu comptes faire ?
Là t'es en galère, j'veux des excuses
J'attends, et j'lâcherai pas l'affaire»
Il me dit : «Nan, toi tu t'excuses
Espèce de vieille sorcière !»
«C'est la meilleure je t'ai donné l'heure,
J'aurais mieux fait d'me taire»
Tu sais que...
{au Refrain, x2}
Voilà comment parlent certains garçons
Quelle honte !
Ils mériteraient une bonne leçon
Tu veux jouer ? On va jouer
J'lui dis : «Baisse ton caleçon
Tu parles beaucoup, ça manque d'action
Tu m'as demandé ? Une fellation ?»
Tout à coup Alphonse a une révélation
Il renonce et me dit :
«Ouais, vas-y c'est bon !
Lâche-moi, pardon»
J'lui dis : «C'est bien
Là, t'as l'air moins con,
C'est pas normal d'avoir besoin
D'parler aux femmes de cette façon
Y a un sérieux problème d'éducation
Pourtant j'suis sûre que t'as un bon fond»
Il me dit : «T'as raison j'me sens tout bidon
C'est mes potes qui m'poussent, j'ai la pression !»
Je lui dis : «C'est bon, pleure pas !»
Il manquait plus qu'ça
Alphonse qui fond en larmes dans mes bras
Tu sais que...
{au Refrain, x2} ....
lunes, 11 de enero de 2010
lunes, 4 de enero de 2010
Georges Moustaki "Le facteur"
LE FACTEUR
LE FACTEUR
Le jeune facteur est mort
Il n'avait que dix-sept ans
L'amour ne peut plus voyager
Il a perdu son messager
C'est lui qui venait chaque jour
Les bras chargés de tous mes mots d'amour
C'est lui qui tenait dans ses mains
La fleur d'amour cueillie dans ton jardin
Il est parti dans le ciel bleu
Comme un oiseau enfin libre et heureux
Et quand son âme l'a quitté
Un rossignol quelque part a chanté
Je t'aime autant que je t'aimais
Mais je ne peux le dire désormais
Il a emporté avec lui
Les derniers mots que je t'avais écrit
Il n'ira plus sur les chemins
Fleuris de roses et de jasmins
Qui mènent jusqu'à ta maison
L'amour ne peut plus voyager
Il a perdu son messager
Et mon cœur est comme en prison
Il est parti l'adolescent
Qui t'apportait mes joies et mes tourments
L'hiver a tué le printemps
Tout est fini pour nous deux maintenant
LE FACTEUR
Le jeune facteur est mort
Il n'avait que dix-sept ans
L'amour ne peut plus voyager
Il a perdu son messager
C'est lui qui venait chaque jour
Les bras chargés de tous mes mots d'amour
C'est lui qui tenait dans ses mains
La fleur d'amour cueillie dans ton jardin
Il est parti dans le ciel bleu
Comme un oiseau enfin libre et heureux
Et quand son âme l'a quitté
Un rossignol quelque part a chanté
Je t'aime autant que je t'aimais
Mais je ne peux le dire désormais
Il a emporté avec lui
Les derniers mots que je t'avais écrit
Il n'ira plus sur les chemins
Fleuris de roses et de jasmins
Qui mènent jusqu'à ta maison
L'amour ne peut plus voyager
Il a perdu son messager
Et mon cœur est comme en prison
Il est parti l'adolescent
Qui t'apportait mes joies et mes tourments
L'hiver a tué le printemps
Tout est fini pour nous deux maintenant
Georges Moustaki "Ma solitude"
MA SOLITUDE
MA SOLITUDE
Pour avoir si souvent dormi
Avec ma solitude
Je m'en suis fait presqu'une amie
Une douce habitude
Ell' ne me quitte pas d'un pas
Fidèle comme une ombre
Elle m'a suivi ça et là
Aux quatre coins du monde
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Quand elle est au creux de mon lit
Elle prend toute la place
Et nous passons de longues nuits
Tous les deux face à face
Je ne sais vraiment pas jusqu'où
Ira cette complice
Faudra-t-il que j'y prenne goût
Ou que je réagisse?
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Par elle, j'ai autant appris
Que j'ai versé de larmes
Si parfois je la répudie
Jamais elle ne désarme
Et si je préfère l'amour
D'une autre courtisane
Elle sera à mon dernier jour
Ma dernière compagne
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
MA SOLITUDE
Pour avoir si souvent dormi
Avec ma solitude
Je m'en suis fait presqu'une amie
Une douce habitude
Ell' ne me quitte pas d'un pas
Fidèle comme une ombre
Elle m'a suivi ça et là
Aux quatre coins du monde
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Quand elle est au creux de mon lit
Elle prend toute la place
Et nous passons de longues nuits
Tous les deux face à face
Je ne sais vraiment pas jusqu'où
Ira cette complice
Faudra-t-il que j'y prenne goût
Ou que je réagisse?
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Par elle, j'ai autant appris
Que j'ai versé de larmes
Si parfois je la répudie
Jamais elle ne désarme
Et si je préfère l'amour
D'une autre courtisane
Elle sera à mon dernier jour
Ma dernière compagne
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Georges Moustaki "Ma liberté" et "Les eaux de mars"
MA LIBERTÉ
MA LIBERTÉ
Longtemps je t'ai gardée
Comme une perle rare
Ma liberté
C'est toi qui m'as aidé
A larguer les amarres
Pour aller n'importe où
Pour aller jusqu'au bout
Des chemins de fortune
Pour cueillir en rêvant
Une rose des vents
Sur un rayon de lune
Ma liberté
Devant tes volontés
Mon âme était soumise
Ma liberté
Je t'avais tout donné
Ma dernière chemise
Et combien j'ai souffert
Pour pouvoir satisfaire
Tes moindres exigences
J'ai changé de pays
J'ai perdu mes amis
Pour gagner ta confiance
Ma liberté
Tu as su désarmer
Mes moindres habitudes
Ma liberté
Toi qui m'as fait aimer
Même la solitude
Toi qui m'as fait sourire
Quand je voyais finir
Une belle aventure
Toi qui m'as protégé
Quand j'allais me cacher
Pour soigner mes blessures
Ma liberté
Pourtant je t'ai quittée
Une nuit de décembre
J'ai déserté
Les chemins écartés
Que nous suivions ensemble
Lorsque sans me méfier
Les pieds et poings liés
Je me suis laissé faire
Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière
Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière
Ici soit http://www.lepointdufle.net/ressources_fle/maliberte_moustaki.htm vous trouverez des activités pédagogiques sur cette chanson
"LES EAUX DE MARS"
"LES EAUX DE MARS"
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est un éclat de verre, c'est la vie, le soleil
C'est la mort, le sommeil, c'est un piège entrouvert
Un arbre millénaire, un nud dans le bois
C'est un chien qui aboie, c'est un oiseau dans l'air
C'est un tronc qui pourrit, c'est la neige qui fond
Le mystère profond, la promesse de vie
C'est le souffle du vent au sommet des collines
C'est une vieille ruine, le vide, le néant
C'est la pie qui jacasse, c'est l'averse qui verse
Des torrents d'allégresse, ce sont les eaux de Mars
C'est le pied qui avance à pas sûr, à pas lent
C'est la main qui se tend, c'est la pierre qu'on lance
C'est un trou dans la terre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est un oiseau dans l'air, un oiseau qui se pose
Le jardin qu'on arrose, une source d'eau claire
Une écharde, un clou, c'est la fièvre qui monte
C'est un compte à bon compte, c'est un peu rien du tout
Un poisson, un geste, c'est comme du vif argent
C'est tout ce qu'on attend, c'est tout ce qui nous reste
C'est du bois, c'est un jour le bout du quai
Un alcool trafiqué, le chemin le plus court
C'est le cri d'un hibou, un corps ensommeillé
La voiture rouillée, c'est la boue, c'est la boue
Un pas, un pont, un crapaud qui croasse
C'est un chaland qui passe, c'est un bel horizon
C'est la saison des pluies, c'est la fonte des glaces
Ce sont les eaux de Mars, la promesse de vie
Une pierre, un bâton, c'est Joseph et c'est Jacques
Un serpent qui attaque, une entaille au talon
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est l'hiver qui s'efface, la fin d'une saison
C'est la neige qui fond, ce sont les eaux de Mars
La promesse de vie, le mystère profond
Ce sont les eaux de Mars dans ton cur tout au fond
Un pas, une " ... pedra é o fim do caminho
E um resto de toco, é um pouco sozinho ... "
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire...
MA LIBERTÉ
Longtemps je t'ai gardée
Comme une perle rare
Ma liberté
C'est toi qui m'as aidé
A larguer les amarres
Pour aller n'importe où
Pour aller jusqu'au bout
Des chemins de fortune
Pour cueillir en rêvant
Une rose des vents
Sur un rayon de lune
Ma liberté
Devant tes volontés
Mon âme était soumise
Ma liberté
Je t'avais tout donné
Ma dernière chemise
Et combien j'ai souffert
Pour pouvoir satisfaire
Tes moindres exigences
J'ai changé de pays
J'ai perdu mes amis
Pour gagner ta confiance
Ma liberté
Tu as su désarmer
Mes moindres habitudes
Ma liberté
Toi qui m'as fait aimer
Même la solitude
Toi qui m'as fait sourire
Quand je voyais finir
Une belle aventure
Toi qui m'as protégé
Quand j'allais me cacher
Pour soigner mes blessures
Ma liberté
Pourtant je t'ai quittée
Une nuit de décembre
J'ai déserté
Les chemins écartés
Que nous suivions ensemble
Lorsque sans me méfier
Les pieds et poings liés
Je me suis laissé faire
Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière
Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière
Ici soit http://www.lepointdufle.net/ressources_fle/maliberte_moustaki.htm vous trouverez des activités pédagogiques sur cette chanson
"LES EAUX DE MARS"
"LES EAUX DE MARS"
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est un éclat de verre, c'est la vie, le soleil
C'est la mort, le sommeil, c'est un piège entrouvert
Un arbre millénaire, un nud dans le bois
C'est un chien qui aboie, c'est un oiseau dans l'air
C'est un tronc qui pourrit, c'est la neige qui fond
Le mystère profond, la promesse de vie
C'est le souffle du vent au sommet des collines
C'est une vieille ruine, le vide, le néant
C'est la pie qui jacasse, c'est l'averse qui verse
Des torrents d'allégresse, ce sont les eaux de Mars
C'est le pied qui avance à pas sûr, à pas lent
C'est la main qui se tend, c'est la pierre qu'on lance
C'est un trou dans la terre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est un oiseau dans l'air, un oiseau qui se pose
Le jardin qu'on arrose, une source d'eau claire
Une écharde, un clou, c'est la fièvre qui monte
C'est un compte à bon compte, c'est un peu rien du tout
Un poisson, un geste, c'est comme du vif argent
C'est tout ce qu'on attend, c'est tout ce qui nous reste
C'est du bois, c'est un jour le bout du quai
Un alcool trafiqué, le chemin le plus court
C'est le cri d'un hibou, un corps ensommeillé
La voiture rouillée, c'est la boue, c'est la boue
Un pas, un pont, un crapaud qui croasse
C'est un chaland qui passe, c'est un bel horizon
C'est la saison des pluies, c'est la fonte des glaces
Ce sont les eaux de Mars, la promesse de vie
Une pierre, un bâton, c'est Joseph et c'est Jacques
Un serpent qui attaque, une entaille au talon
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est l'hiver qui s'efface, la fin d'une saison
C'est la neige qui fond, ce sont les eaux de Mars
La promesse de vie, le mystère profond
Ce sont les eaux de Mars dans ton cur tout au fond
Un pas, une " ... pedra é o fim do caminho
E um resto de toco, é um pouco sozinho ... "
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire...
Maxime Le Forestier "Mon frère"
ºMON FRÊRE
"MON FRÈRE
Complétez:
Toi le ............. que je n'ai jamais .....
Sais-tu si tu .......... vécu
Ce que nous aurions fait ..............
Un an après moi, tu ................ né
Alors on n'se s'rait plus .............
Comme des ............ qui se ressemblent
On aurait appris l'.............. par cœur
J'aurais été ton ..................
A mon .............. buissonnière
Sur qu'un ........... on se serait battu
Pour peu qu'alors on ait connu
Ensemble la même ................
Mais tu n'es pas la
A qui la faute
Pas à mon ...............
Pas à ma .................
Tu aurais pu chanter ..........
Toi le frère que je n'ai jamais eu
Si tu savais ce que j'ai bu
De mes chagrins en ...............
Si tu m'avais pas fait faux bond
Tu aurais fini mes ...............
Je t'aurais appris à en faire
Si la ............ s'était comportée mieux
Elle aurait divisé en ..........
Les paires de gants, les paires de claques
Elle aurait ............... partagé
Les mots d'amour et les pavés
Les filles et les coups de matraque
Mais tu n'es pas la
A qui la ............
Pas à mon père
Pas à ma mère
Tu aurais pu chanter cela
Toi le frère que je n'aurais jamais
Je suis moins seul de t'avoir fait
Pour un ................., pour une fille
Je t'ai dérangé, tu me pardonnes
Ici quand tout vous abandonne
On se fabrique une ..................
"MON FRÈRE
Complétez:
Toi le ............. que je n'ai jamais .....
Sais-tu si tu .......... vécu
Ce que nous aurions fait ..............
Un an après moi, tu ................ né
Alors on n'se s'rait plus .............
Comme des ............ qui se ressemblent
On aurait appris l'.............. par cœur
J'aurais été ton ..................
A mon .............. buissonnière
Sur qu'un ........... on se serait battu
Pour peu qu'alors on ait connu
Ensemble la même ................
Mais tu n'es pas la
A qui la faute
Pas à mon ...............
Pas à ma .................
Tu aurais pu chanter ..........
Toi le frère que je n'ai jamais eu
Si tu savais ce que j'ai bu
De mes chagrins en ...............
Si tu m'avais pas fait faux bond
Tu aurais fini mes ...............
Je t'aurais appris à en faire
Si la ............ s'était comportée mieux
Elle aurait divisé en ..........
Les paires de gants, les paires de claques
Elle aurait ............... partagé
Les mots d'amour et les pavés
Les filles et les coups de matraque
Mais tu n'es pas la
A qui la ............
Pas à mon père
Pas à ma mère
Tu aurais pu chanter cela
Toi le frère que je n'aurais jamais
Je suis moins seul de t'avoir fait
Pour un ................., pour une fille
Je t'ai dérangé, tu me pardonnes
Ici quand tout vous abandonne
On se fabrique une ..................
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Maxime Le Forestier Mon chanteur préféré.
Maxime Le Forestier "L'Éducation sentimentale"
2L'ÉDUCATION SENTIMENTALE
"L'Éducation Sentimentale
Ce soir à la brume
Nous irons, ma brune
Cueillir des serments
Cette fleur sauvage
Qui fait des ravages
Dans les cœurs d'enfants
Pour toi, ma princesse
J'en ferai des tresses
Et dans tes cheveux
Ces serments, ma belle
Te rendront cruelle
Pour tes amoureux
Demain à l'aurore
Nous irons encore
Glaner dans les champs
Cueillir des promesses
Des fleurs de tendresse
Et de sentiment
Et sur la colline
Dans les sauvagines
Tu te coucheras
Dans mes bras, ma brune
Eclairée de lune
Tu te donneras
C'est au crépuscule
Quand la libellule
S'endort au marais
Qu'il faudra, voisine
Quitter la colline
Et vite rentrer
Ne dis rien, ma brune
Pas même à la lune
Et moi, dans mon coin
J'irai solitaire
Je saurai me taire
tJe ne dirai rien
Ce soir à la brume
Nous irons, ma brune
Cueillir des serments
Cette fleur sauvage
Qui fait des ravages
Dans les cœurs d'enfants
Pour toi, ma princesse
J'en ferai des tresses
Et dans tes cheveux
Ces serments, ma belle
Te rendront cruelle
Pour tes amoureux
"L'Éducation Sentimentale
Ce soir à la brume
Nous irons, ma brune
Cueillir des serments
Cette fleur sauvage
Qui fait des ravages
Dans les cœurs d'enfants
Pour toi, ma princesse
J'en ferai des tresses
Et dans tes cheveux
Ces serments, ma belle
Te rendront cruelle
Pour tes amoureux
Demain à l'aurore
Nous irons encore
Glaner dans les champs
Cueillir des promesses
Des fleurs de tendresse
Et de sentiment
Et sur la colline
Dans les sauvagines
Tu te coucheras
Dans mes bras, ma brune
Eclairée de lune
Tu te donneras
C'est au crépuscule
Quand la libellule
S'endort au marais
Qu'il faudra, voisine
Quitter la colline
Et vite rentrer
Ne dis rien, ma brune
Pas même à la lune
Et moi, dans mon coin
J'irai solitaire
Je saurai me taire
tJe ne dirai rien
Ce soir à la brume
Nous irons, ma brune
Cueillir des serments
Cette fleur sauvage
Qui fait des ravages
Dans les cœurs d'enfants
Pour toi, ma princesse
J'en ferai des tresses
Et dans tes cheveux
Ces serments, ma belle
Te rendront cruelle
Pour tes amoureux
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Mon chanteur et ma chanson préférés
Maxime Le Forestier "San Francisco"
"SAN FRANCISCO"
"SAN FRANCISCO"
C'est une maison bleue
Adossée á la colline
On y vient á pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent lá , ont jeté la clé
On se retrouve ensemble
Aprá¨s des années de route
Et l'on vient s'asseoir autour du repas
Tout le monde est lá , á cinq heures du soir
San Francisco s'embrume
San Francisco s'allume
San Francisco, oá¹ áªtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi
Nageant dans le brouillard
Enlacés, roulant dans l'herbe
On écoutera Tom á la guitare
Phil á la kena, jusqu'á la nuit noire
Un autre arrivera
Pour nous dire des nouvelles
D'un qui reviendra dans un an ou deux
Puisqu'il est heureux, on s'endormira
San Francisco se lá¨ve
San Francisco se lá¨ve
San Francisco oá¹ áªtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi
C'est une maison bleue
Accrochée á ma mémoire
On y vient á pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent lá , ont jeté la clef
Peuplée de cheveux longs
De grands lits et de musique
Peuplée de lumiá¨re, et peuplée de fous
Elle sera derniá¨re á rester debout
Si San Francisco s'effondre
Si San Francisco s'effondre
San Francisco ! Oá¹ áªtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi
Paroles de Chansons
"SAN FRANCISCO"
C'est une maison bleue
Adossée á la colline
On y vient á pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent lá , ont jeté la clé
On se retrouve ensemble
Aprá¨s des années de route
Et l'on vient s'asseoir autour du repas
Tout le monde est lá , á cinq heures du soir
San Francisco s'embrume
San Francisco s'allume
San Francisco, oá¹ áªtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi
Nageant dans le brouillard
Enlacés, roulant dans l'herbe
On écoutera Tom á la guitare
Phil á la kena, jusqu'á la nuit noire
Un autre arrivera
Pour nous dire des nouvelles
D'un qui reviendra dans un an ou deux
Puisqu'il est heureux, on s'endormira
San Francisco se lá¨ve
San Francisco se lá¨ve
San Francisco oá¹ áªtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi
C'est une maison bleue
Accrochée á ma mémoire
On y vient á pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent lá , ont jeté la clef
Peuplée de cheveux longs
De grands lits et de musique
Peuplée de lumiá¨re, et peuplée de fous
Elle sera derniá¨re á rester debout
Si San Francisco s'effondre
Si San Francisco s'effondre
San Francisco ! Oá¹ áªtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi
Paroles de Chansons
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