domingo, 21 de marzo de 2010
Babylon Circus "J'aurais bien voulu"
BABYLON CIRCUS "J'AURAIS BIEN VOULU"
j'aurais bien voulu pour passer le temps
Te serrer dans mes bras amicalement
Mais le temps qui passe n'est pas à tes yeux
Un argument apparement suffisant
Alors je reste a ma place et tu restes a ta place
Mais quittes moi cet air suffisant
Alors tu restes a ta place et je reste a ma place
En attendant vivement le printemps
J'aurais bien voulu t'enlever en voyage
Une croisiere de rêve au pays des mirages
J'ai cherché un paquebot, et c'était la galere
Les rames étaient trop courtes pour atteindre le niveau d'la mer
Alors je reste a ma place et tu restes a ta place
Je ne voudrais pas avoir l'air suppliant
Mais si je reste a ma place et tu restes a ta place
A l'automne on attendra le printemps
J'aurai bien voulu réagir virilement
Me jeter sur toi et t'arracher tous tes vêtements
J'ai su rester digne ou alors un peu niais
J'en bouffe encore ma casquette et j'ai du mal a digérer
Que je suis assis face et pas a tes cotés
Qu'a tes cotés ya plus de place et qu'je ne peux pas rester
Même si c'est juste en face c'est juste pas assez
C'est pas juste tout court et j'me sens comme condamné
J'aurai bien voulu avoir une pêche d'enfer
Te sourire sincèrement
Te dire "Ouais, ça va super"
Mais j'ai du mal à mentir, surtout quand c'est pas vrai
J'ai l'ego dans les chaussettes et les godasses sur le point de craquer
J'aurai bien voulu être un de ces gars
Qui ne craint ni la pluie, ni la nuit, ni le froid
Au menton carré, qui ne pleure jamais
Qui s'en va, qui s'en va sans regrets (bis)
J'aurai tant voulu qu'on en reste là
Tourner les talons, merci, ciao, basta
Mais j'ai le coeur en mousse et la tête en bois
Même si j'ai la frousse, ça ne m'empêchera pas
De traverser la brousse, de braver l'effroi, de tendre le pouce pour partir avec toi
Même la mort aux trousses, ne m'arêtera pas
Jusqu'a c'que tu m'ouvres la porte de tes bras
J'aurai bien voulu être un de ces gars
Qui ne craint ni la pluie, ni la nuit, ni le froid
Au menton carré, qui ne pleure jamais
Qui s'en va, qui s'en va sans regrets (bis)
miércoles, 17 de marzo de 2010
"Le chant de Partisants"
LE CHANT DE PARTISANS (Ives Montand)
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?
Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ?
Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme.
Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes.
Montez de la mine, descendez des collines, camarades !
Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades.
Ohé, les tueurs à la balle et au couteau, tuez vite !
Ohé, saboteur, attention à ton fardeau : dynamite...
C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères.
La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère.
Il y a des pays où les gens au creux des lits font des rèves.
Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève...
Ici chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait quand il passe.
Ami, si tu tombes un ami sort de l'ombre à ta place.
Demain du sang noir sèchera au grand soleil sur les routes.
Chantez, compagnons, dans la nuit la Liberté nous écoute...
Ami, entends-tu ces cris sourds du pays qu'on enchaîne ?
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?
Oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh...
N'hésitez pas à vous inscrire pour corriger les paroles ou effectuer une autre
opération ;-)
YVES MONTAND
Adieu à Jean Ferrat
Jean FerratJean Ferrat est un chanteur français, né Jean Tenenbaum le 26 décembre 1930 à Vaucresson.
La carrière de Jean Ferrat s’est professionnalisée au début des années 60, l’album Nuit et brouillard concrétisant avec plus de succès ses premiers efforts.
Chanteur engagé, Ferrat a laissé aller sa plume en fonction de ses convictions politiques et philosophiques, de ses espoirs et de ses coups de gueule. Il a également mis en chanson des poèmes de Louis Aragon, auteur qui l’a marqué profondément.
C’est avec beaucoup de tristesse que le Président de la République vient d’apprendre la mort de Jean Ferrat.
Avec Jean Ferrat, c’est un grand nom de la chanson française qui disparaît. Chacun a en mémoire les mélodies inoubliables et les textes exigeants de ses chansons, qui continueront encore longtemps, par leur générosité, leur humanisme et leur poésie à transporter les âmes et les cœurs, à accompagner aussi les joies et les peines du quotidien.
Le Parti communiste français a perdu une voix, a perdu sa voix. Jean Ferrat l'a longtemps incarnée : pas une fête de l'Huma, pas un meeting du PCF sans le chanteur aux grandes moustaches et à la voix grave, ami d'Aragon et de l'URSS, mais aussi poète et compositeur. Le chanteur est mort samedi à l'age de 79 ans.
Jean Ferrat incarne une époque française. Dans la chanson comme dans la politique. Celle d'une chanson engagée, de paroles à thème, celle aussi des affrontements classe contre classe, bloc contre bloc, une époque qui sentait bon la guerre froide et le manichéisme, où il fallait choisir son camp et s'y tenir.
L'AMOUR EST CÉRISE
Rebelle et soumise
Paupières baissées
Quitte ta chemise
Belle fiancée
L'amour est cerise
Et le temps pressé
C'est partie remise
Pour aller danser
Autant qu'il nous semble
Raisonnable et fou
Nous irons ensemble
Au-delà de tout
Prête-moi ta bouche
Pour t'aimer un peu
Ouvre-moi ta couche
Pour l'amour de Dieu
Laisse-moi sans crainte
Venir à genoux
Goûter ton absinthe
Boire ton vin doux
O rires et plaintes
O mots insensés
La folle complainte
S'est vite élancée
Défions le monde
Et ses interdits
Ton plaisir inonde
Ma bouche ravie
Vertu ou licence
Par Dieu je m'en fous
Je perds ma semence
Dans ton sexe roux
O Pierrot de lune
O monts et merveilles
Voilà que ma plume
Tombe de sommeil
Et comme une louve
Aux enfants frileux
La nuit nous recouvre
De son manteau bleu
[Répétition]
Les obsèques de Jean Ferrat
envoyé par BFM. - L'info video en direct.
"CAMARADE"
"CAMARADE"
c'est un joli nom Camarade
C'est un joli nom tu sais
Qui marie cerise et grenade
Aux cent fleurs du mois de mai
Pendant des années Camarade
Pendant des années tu sais
Avec ton seul nom comme aubade
Les lèvres s'épanouissaient
Camarade Camarade
C'est un nom terrible Camarade
C'est un nom terrible à dire
Quand, le temps d'une mascarade
Il ne fait plus que frémir
Que venez-vous faire Camarade
Que venez-vous faire ici
Ce fut à cinq heures dans Prague
Que le mois d'août s'obscurcit
Camarade Camarade
C'est un joli nom Camarade
C'est un joli nom tu sais
Dans mon cœur battant la chamade
Pour qu'il revive à jamais
Se marient cerise et grenade
Aux cent fleurs du mois de mai
sábado, 6 de marzo de 2010
Damien Saez "J'accuse"
SAEZ J'accuse (avec paroles)
envoyé par Blooms. - Clip, interview et concert.
La censure en France
L'affiche qui devait annoncer dans le métro les concerts et l'album J'accuse du chanteur Damien Saez a été censurée. Trop choquante pour la société d'affichage. On y voit en effet une femme nue dans un caddie... C'est vrai que c'est vraiment très choquant, et que la publicité ne nous a pas encore habitué a de tels excès... Mais de qui se moque-t-on ? - Société / France , Musique , Publicité , A la...