lunes, 29 de septiembre de 2014

Plastique Bertrand "Ça plane pour moi"

Plastique Bertrand

Plastic Bertrand, né Roger Allen François Jouret le 24 février 1954 à Bruxelles en Belgique, est un chanteur belge connu pour Ça plane pour moi, une chanson de Lou Deprijck.
l est né d'un père français et d'une mère ukrainienne qui se sont rencontrés dans un camp de concentration en Allemagne. Le couple rejoindra par la suite la Belgiquesur un vélo. Roger Jouret voit le jour le 24 février 1954 à Bruxelles en Belgique.
Roger Jouret commence sa carrière en tant que batteur au sein de différents groupes qui écument les bars, clubs, boums et festivals. Afin de parfaire ses talents de percussionniste, il intègre l'Académie de Musique et une fois son diplôme obtenu, entre en 1973 au Conservatoire royal de Bruxelles section percussion, solfège et histoire de la musique. 

 "Ça Plane Pour Moi" (1978)




 "Ça Plane Pour Moi"

Wam! Bam!
Mon chat, splatch
Gît sur mon lit
A bouffé sa langue
En buvant dans mon whisky
Quant à moi
Peu dormi, vidé, brimé
J'ai dû dormir dans la gouttière
Où j'ai eu un flash

Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
En quatre couleurs
Allez hop !
Un matin
Une louloute est v'nue chez-moi
Poupée de Cellophane
Cheveux chinois
Un sparadrap
Une gueule de bois
A bu ma bière
Dans un grand verre
En caoutchouc
Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
Comme un indien dans son igloo

[Refrain] :
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi moi moi moi moi
Ça plane pour moi
Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
Ça plane pour moi

Allez hop ! La nana
Quel panard !
Quelle vibration !
De s'envoyer
Sur le paillasson
Limée, ruinée, vidée, comblée
"You are the King of the divan"
Qu'elle me dit en passant
Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
I am the King of the divan

[Refrain]

Allez hop !
T'occupe
T'inquiète
Touche pas ma planète
It's not to day
Quel le ciel me tombera sur la tête
Et que l'alcool me manquera
Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
Ça plane pour moi

Allez hop ! ma nana
S'est tirée
S'est barrée
Enfin c'est marre, a tout cassé
L'évier, le bar me laissant seul
Comme un grand connard

Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
Le pied dans le plat
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi
Ça plane pour moi moi moi moi moi
Ça plane pour moi

Hou ! Hou ! Hou ! Hou !
Ça plane pour moi x4


         

lunes, 15 de septiembre de 2014

SERGE LAMA: "Je suis malade" et "Les p'tites femmes de Pigale"

SERGE LAMA
Serge Lama, de son vrai nom Serge Claude Bernard Chauvier, né le 11 février 1943 à Bordeaux, est un chanteurfrançais. Fort de cinquante années de carrière, il fait partie des plus populaires depuis la fin des années 1960. Ses 22albums studio et ses 9 albums live totalisent près de 12 millions d'exemplaires vendus1.
On lui doit plusieurs tubes, dont Les Ballons rougesD'aventures en aventuresJe suis maladeLes P'tites femmes de Pigalle ou encore Femme, femme, femme font partie des plus célèbres.
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Serge_Lama
"JE SUIS MALADE"

"JE SUIS MALADE"
Je ne rêve plus je ne fume plus
Je n´ai même plus d´histoire
Je suis sale sans toi je suis laid sans toi
Je suis comme un orphelin dans un dortoir

Je n´ai plus envie de vivre ma vie
Ma vie cesse quand tu pars
Je n´ai plus de vie et même mon lit
Se transforme en quai de gare
Quand tu t´en vas

Je suis malade complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu´elle me laissait seul avec mon désespoir

Je suis malade parfaitement malade
T´arrives on ne sait jamais quand
Tu repars on ne sait jamais où
Et ça va faire bientôt deux ans
Que tu t´en fous

Comme à un rocher comme à un péché
Je suis accroché à toi
Je suis fatigué je suis épuisé
De faire semblant d´être heureux quand ils sont là

Je bois toutes les nuits mais tous les whiskies
Pour moi ont le même goût
Et tous les bateaux portent ton drapeau
Je ne sais plus où aller tu es partout

Je suis malade complètement malade
Je verse mon sang dans ton corps
Et je suis comme un oiseau mort quand toi tu dors

Je suis malade parfaitement malade
Tu m´as privé de tous mes chants
Tu m´as vidé de tous mes mots
Pourtant moi j´avais du talent avant ta peau

Cet amour me tue, si ça continue
Je crèverai seul avec moi
Près de ma radio comme un gosse idiot
Écoutant ma propre voix qui chantera :

Je suis malade complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu´elle me laissait seul avec mon désespoir

Je suis malade c´est ça je suis malade
Tu m´as privé de tous mes chants
Tu m´as vidé de tous mes mots
Et j´ai le cœur complètement malade
Cerné de barricades t´entends je suis malade


"LES P'TITES FEMMES DE PIGALLE"
           
       "LES P'TITES FEMMES DE PIGALLE"
Un voyou m'a volé la femme de ma vie
Il m'a déshonoré, me disent mes amis
Mais j'm'en fous pas mal aujourd'hui
Mais j'm'en fous pas mal. car depuis
Chaque nuit

Je m'en vais voir les p'tites femmes de Pigalle
Toutes les nuits j'effeuille les fleurs du mal
Je mets mas mains partout, je suis somme un bambin
J'm'aperçois qu'en amour je n'y connaissais rien

Je m'en vais voir les p'tites femmes de Pigalle
J'étais fourmi et je deviens cigale
Et j'suis content, j'suis content, j'suis content
J'suis content, j'suis cocu mais content

Un voyou s'est vautré dans mon lit conjugal
Il m'a couvert de boue, d'opprobre et de scandale
Mais j'm'en fous pas mal aujourd'hui
Mais j'm'en fous pas mal, car depuis
Grâce à lui

Je m'en vais voir les p'tites femmes de Pigalle
Tous les maqu'reaux du coin me rincent la dalle
J'm'aperçois qu'en amour je n'valais pas un sou
Mais grâce à leurs p'tits cours je vais apprendre tout

Je m'en vais voir les p'tites femmes de Pigalle
Tous les marins m'appelent l'amiral
Et j'suis content, j'suis content, j'suis content
J'suis content, j'suis cocu mais content

Je m'en vais voir les p'tites femmes de Pigalle
Dans toutes les gares j'attend des filles de salle
Je fais tous les endroits que l'église condamne
Même qu'un soir par hasard j'y ai retrouvé ma femme

Je m'en vais voir les p'tites femmes de Pigalle
C'est mon péché, ma drogue, mon gardénal
Et j'suis content, j'suis content, j'suis content
J'suis content, j'suis cocu mais content

(Il s'en va voir les p'tites femmes de Pigalle)
(Dans toutes les gares il attend des filles de salle)
(Il fait tous les endroits que l'église condamne)
(Même qu'un soir par hasard il y a retrouvé sa femme)

(Il s'en va voir les p'tites femmes de Pigalle)
(C'est son péché, sa drogue, son gardénal)
(Il est content, il est content, il est content)
(Il est content, il est cocu mais content)

                             

sábado, 13 de septiembre de 2014

DANIEL GUICHARD
Daniel Guichard est un auteur-interprète né à Paris le 21 novembre 1948, d’un père breton soudeur en usine, Henri Guichard1, et d’une mère à la triple origine russepolonaise et ukrainienne. Il habite désormais à Sauvian, dans l'Hérault.
                                                
"La tendresse"

"La tendresse"
C´est quelquefois ne plus s´aimer mais être heureux
De se trouver à nouveau deux
C´est refaire pour quelques instants un monde en bleu
Avec le cœur au bord des yeux
La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

La tendresse
C´est quand on peut se pardonner sans réfléchir
Sans un regret sans rien se dire
C´est quand on veut se séparer sans se maudire
Sans rien casser, sans rien détruire
La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

La tendresse
C´est un geste, un mot, un sourire quand on oublie
Que tous les deux on a grandi
C´est quand je veux te dire je t´aime et que j´oublie
Qu´un jour ou l´autre l´amour finit
La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

{parlé} Allez viens.

"Mon vieux"
"MON VIEUX"
Dans son vieux pardessus râpé
Il s´en allait l´hiver, l´été
Dans le petit matin frileux
Mon vieux.

Y avait qu´un dimanche par semaine
Les autres jours, c´était la graine
Qu´il allait gagner comme on peut
Mon vieux.

L´été, on allait voir la mer
Tu vois c´était pas la misère
C´était pas non plus l´paradis
Hé oui tant pis.

Dans son vieux pardessus râpé
Il a pris pendant des années
L´même autobus de banlieue
Mon vieux.

L´soir en rentrant du boulot
Il s´asseyait sans dire un mot
Il était du genre silencieux
Mon vieux.

Les dimanches étaient monotones
On n´recevait jamais personne
Ça n´le rendait pas malheureux
Je crois, mon vieux.

Dans son vieux pardessus râpé
Les jours de paye quand il rentrait
On l´entendait gueuler un peu
Mon vieux.

Nous, on connaissait la chanson
Tout y passait, bourgeois, patrons,
La gauche, la droite, même le bon Dieu
Avec mon vieux.

Chez nous y avait pas la télé
C´est dehors que j´allais chercher
Pendant quelques heures l´évasion
Tu sais, c´est con!

Dire que j´ai passé des années
A côté de lui sans le r´garder
On a à peine ouvert les yeux
Nous deux.

J´aurais pu c´était pas malin
Faire avec lui un bout d´chemin
Ça l´aurait p´t´-êt´ rendu heureux
Mon vieux.

Mais quand on a juste quinze ans
On n´a pas le cœur assez grand
Pour y loger tout´s ces chos´s-là
Tu vois.

Maintenant qu´il est loin d´ici
En pensant à tout ça, j´me dis
"J´aim´rais bien qu´il soit près de moi"
PAPA...


                                          

jueves, 11 de septiembre de 2014

                             Michel Delpech
                            

"Pour un flirt avec toi"
Pour un petit tour, un petit jour

Entre tes bras

Pour un petit tour, au petit jour

Entre tes draps


Je pourrais tout quitter
Quitte à faire démodé
Pour un flirt avec toi
Je pourrais me damner
Pour un seul baiser volé
Pour un flirt avec toi

Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps

Je ferais l'amoureux
Pour te câliner un peu
Pour un flirt avec toi
Je ferais des folies
Pour arriver dans ton lit
Pour un flirt avec toi

Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps

"Les divorcés"


"Les divorcés"
On pourra dans les premiers temps
Donner la gosse à tes parents,
Le temps de faire le nécessaire.

Il faut quand même se retourner.
Ça me fait drôle de divorcer,
Mais ça fait rien : je vais m'y faire.

Si tu voyais mon avocat,
Ce qu'il veut me faire dire de toi :
Il ne te trouve pas d'excuses.

Les jolies choses de ma vie,
Il fallait que je les oublie :
Il a fallu que je t'accuse.

Tu garderas l'appartement.
Je passerai de temps en temps,
Quand il n'y aura pas d'école.

Ces jours-là, pour l'après-midi,
Je t'enlèverai Stéphanie.
J'ai toujours été son idole.

Si tu manquais de quoi qu'ce soit,
Tu peux toujours compter sur moi
En attendant que tu travailles.

Je sais que tu peux t'en sortir :
Tu vas me faire le plaisir
De te jeter dans la bataille.

[Refrain] :
Si c'est fichu
Entre nous,
La vie continue
Malgré tout.

Tu sais maintenant c'est passé
Mais au début j'en ai bavé :
Je rêvais presque de vengeance

Evidemment j'étais jaloux
Mon orgueil en a pris un coup
Je refusais de te comprendre.

À présent, ça va beaucoup mieux
Et finalement je suis heureux
Que tu te fasses une vie nouvelle.

Tu pourrais même faire aussi
Un demi-frère à Stéphanie :
Ce serait merveilleux pour elle.

[Refrain]

Les amis vont nous questionner
Certains vont se croire obligés
De nous monter l'un contre l'autre

Ce serait moche d'en arriver
Toi et moi à se détester
Et à se rejeter les fautes.

Alors il faut qu'on ait raison
Car cette fois-ci c'est pour de bon :
C'est parti pour la vie entière.

Regarde-moi bien dans les yeux
Et jure moi que ce s'ra mieux
Qu'il n'y avait rien d'autre à faire

[Refrain]

...Malgré tout


                            alt=Description de cette image, également commentée ci-après
Michel Delpech en juin 2012 au festival du film de Cabourg

"LE CHASSEUR"


"LE CHASSEUR"
Il était cinq heures du matin
On avançait dans les marais
Couverts de brume
J'avais mon fusil dans les mains
Un passereau prenait au loin
De l'altitude
Les chiens pressées marchaient devant
Dans les roseaux

Par dessus l'étang
Soudain j'ai vu
Passer les oies sauvages
Elles s'en allaient
Vers le midi
La Méditerranée

Un vol de perdreaux
Par dessus les champs
Montait dans les nuages
La foret chantait
Le soleil brillait
Au bout des marécages
Avec mon fusil dans les mains
Au fond de moi je me sentais
Un peu coupable
Alors je suis parti tout seul
J'ai emmené mon épagneul
En promenade
Je regardais
Le bleu du ciel
Et j'étais bien

Par dessus l'étang
Soudain j'ai vu
Passer les oies sauvages
Elles s'en allaient
Vers le midi
La Méditerranée

Et tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimer les accompagner
Au bout de leur voyage
Oui tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimer les accompagner
Au bout de leur voyage