jueves, 12 de noviembre de 2009

Pink Martini "Je ne veux pas travailler"



Edith Piaf-Je Ne Veux Pas Travailler
envoyé par strega-jessica. - Regardez la dernière sélection musicale.

Je ne veux pas travailler - 2006/07
envoyé par cinecondorcet. - Les dernières bandes annonces en ligne.
JE NE VEUX PAS TRAVAILLER
Ma chambre a la forme d'une cage
Le soleil passe son bras par la fenêtre
Les chasseurs à ma porte
Comme des petits soldats
Qui veulent me prendre

(Refrain)
Je ne veux pas travailler
Je ne veux pas déjeuner
Je veux seulement oublier
Et puis je fume

Déjà j'ai connu le parfum de l'amour
Un millions de roses
N'embaumeraient pas autant
Maintenant une seule fleur
Dans mes entourages
Me rend malade

(Refrain)

Je ne suis pas fière de ça
Vie qui veut me tuer
C'est magnifique
Etre sympathique
Mais je ne le connais jamais

(Refrain)

Je ne suis pas fière de ça
Vie qui veut me tuer
C'est magnifique
Etre sympathique
Mais je ne le connais jamais

(Refrain)
Des activités: http://platea.pntic.mec.es/~cvera/hotpot/martini.htm

lunes, 2 de noviembre de 2009

Georges Moustaki "Le métèque", "17 ans" et "La marche de Sacco et Vanzetti"

"LE MÉTÈQUE"


"LE MÉTÈQUE"
Avec ma gueule de métèque
De Juif errant, de pâtre grec
Et mes cheveux aux quatre vents
Avec mes yeux tout délavés
Qui me donnent l'air de rêver
Moi qui ne rêve plus souvent
Avec mes mains de maraudeur
De musicien et de rôdeur
Qui ont pillé tant de jardins
Avec ma bouche qui a bu
Qui a embrassé et mordu
Sans jamais assouvir sa faim

Avec ma gueule de métèque
De Juif errant, de pâtre grec
De voleur et de vagabond
Avec ma peau qui s'est frottée
Au soleil de tous les étés
Et tout ce qui portait jupon
Avec mon cœur qui a su faire
Souffrir autant qu'il a souffert
Sans pour cela faire d'histoires
Avec mon âme qui n'a plus
La moindre chance de salut
Pour éviter le purgatoire

Avec ma gueule de métèque
De Juif errant, de pâtre grec
Et mes cheveux aux quatre vents
Je viendrai, ma douce captive
Mon âme sœur, ma source vive
Je viendrai boire tes vingt ans
Et je serai prince de sang
Rêveur ou bien adolescent
Comme il te plaira de choisir
Et nous ferons de chaque jour
Toute une éternité d'amour
Que nous vivrons à en mourir

Et nous ferons de chaque jour
Toute une éternité d'amour
Que nous vivrons à en mourir

"17 ANS"


"17 ANS"
17 ans
Une femme une enfant
Qui ne sait rien encore
Et découvre son corps
Que le soleil enivre
Et que la nuit délivre

17 ans
Un sourire innocent
Et le regard docile
Sous un rideau de cils
Mais une faim de loup
Et une soif de tout

17 ans
Des seins de satin blanc
Semblent narguer le vent
De leur charme insolent

17 ans
Et prendre encore le temps
Le temps de refuser
Le monde organisé
Et faire à l'heure présente
Un aujourd'hui qui chante

17 ans
Et vivre à chaque instant
Ses caprices d'enfant
Ses désirs exigeants

17 ans
J'étais adolescent
Et je le suis encore
En découvrant ton corps
Comme un fruit éclaté
Comme un cri révolté

17 ans déjà

17 ans tu n'as
Que 17 ans
Mon amour
Mon enfant

"LA MARCHE DE SACCO ET VANZETTI"


"LA MARCHE DE SACCO ET VANZETTI"
Maintenant Nicolas et Bart
Vous dormez au fond de nos cœurs
Vous étiez tous seuls dans la mort
Mais par elle vous vaincrez !

Georges Brassens "La mauvaise réputation"

"LA MAUVAISE REPUTATION"
http://youtu.be/sVy87tdvx8w

"LA MAUVAISE REPUTATION"
Au village, sans prétention,
J'ai mauvaise réputation.
Qu'je m'démène ou qu'je reste coi
Je pass' pour un je-ne-sais-quoi!
Je ne fait pourtant de tort à personne
En suivant mon chemin de petit bonhomme.
Mais les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Non les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Tout le monde médit de moi,
Sauf les muets, ça va de soi.

Le jour du Quatorze Juillet
Je reste dans mon lit douillet.
La musique qui marche au pas,
Cela ne me regarde pas.
Je ne fais pourtant de tort à personne,
En n'écoutant pas le clairon qui sonne.
Mais les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Non les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Tout le monde me montre du doigt
Sauf les manchots, ça va de soi.

Quand j'croise un voleur malchanceux,
Poursuivi par un cul-terreux;
J'lance la patte et pourquoi le taire,
Le cul-terreux s'retrouv' par terre
Je ne fait pourtant de tort à personne,
En laissant courir les voleurs de pommes.
Mais les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Non les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Tout le monde se rue sur moi,
Sauf les culs-de-jatte, ça va de soi.

Pas besoin d'être Jérémie,
Pour d'viner l'sort qui m'est promis,
S'ils trouv'nt une corde à leur goût,
Ils me la passeront au cou,
Je ne fait pourtant de tort à personne,
En suivant les ch'mins qui n'mènent pas à Rome,
Mais les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Non les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Tout l'mond' viendra me voir pendu,
Sauf les aveugles, bien entendu.


"BRAVO MARGOT"
http://youtu.be/zuxMhzKeozo


"BRAVO MARGOT"
Margoton la jeune bergère
Trouvant dans l’herbe un petit chat
Qui venait de perdre sa mère
L’adopta
Elle entrouvre sa collerette
Et le couche contre son sein
C’était tout c’quelle avait pauvrette
Comme coussin
Le chat la prenant pour sa mère
Se mit à têter tout de go
Emue, Margot le laissa faire
Brave Margot
Un croquant passant à la ronde
Trouvant le tableau peu commun
S’en alla le dire à tout l’monde
Et le lendemain

Quand Margot dégrafait son corsage
Pour donner la gougoutte à son chat
Tous les gars, tous les gars du village
Etaient là, la la la la la la
Etaient là, la la la la la
Et Margot qu’était simple et très sage
Présumait qu’c’était pour voir son chat
Qu’tous les gars, tous les gars du village
Etaient là, la la la la la la
Etaient là, la la la la la

L’maître d’école et ses potaches
Le maire, le bedeau, le bougnat
Négligeaient carrément leur tâche
Pour voir ça
Le facteur d’ordinaire si preste
Pour voir ça, n’distribuait plus
Les lettres que personne au reste
N’aurait lues
Pour voir ça, Dieu le leur pardonne
Les enfants de cœur au milieu
Du Saint Sacrifice abandonnent
Le saint lieu
Les gendarmes, même mes gendarmes
Qui sont par nature si ballots
Se laissaient toucher par les charmes
Du joli tableau

Quand Margot dégrafait son corsage
Pour donner la gougoutte à son chat
Tous les gars, tous les gars du village
Etaient là, la la la la la la
Etaient là, la la la la la
Et Margot qu’était simple et très sage
Présumait qu’c’était pour voir son chat
Qu’tous les gars, tous les gars du village
Etaient là, la la la la la la
Etaient là, la la la la la

Mais les autres femmes de la commune
Privées d’leurs époux, d’leurs galants
Accumulèrent la rancune
Patiemment
Puis un jour ivres de colère
Elles s’armèrent de bâtons
Et farouches elles immolèrent
Le chaton
La bergère après bien des larmes
Pour s’consoler prit un mari
Et ne dévoila plus ses charmes
Que pour lui
Le temps passa sur les mémoires
On oublia l’évènement
Seuls des vieux racontent encore
A leurs p’tits enfants

Quand Margot dégrafait son corsage
Pour donner la gougoutte à son chat
Tous les gars, tous les gars du village
Etaient là, la la la la la la
Etaient là, la la la la la
Et Margot qu’était simple et très sage
Présumait qu’c’était pour voir son chat
Qu’tous les gars, tous les gars du village
Etaient là, la la la la la la
Etaient là, la la la la la

"LES AMOUREUX DES BANC PUBLICS"
http://youtu.be/RiZaJRiOMMU


"LES AMOUREUX DES BANC PUBLICS"
Les gens qui voient de travers
Pensent que les bancs verts
Qu'on voit sur les trottoirs
Sont faits pour les impotents ou les ventripotents
Mais c'est une absurdité
Car à la vérité
Ils sont là c'est notoire
Pour accueillir quelque temps les amours débutants


Refrain
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'foutant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "je t'aime" pathétiques
Ont des p'tites gueules bien sympatiques

Ils se tiennent par la main
Parlent du lendemain
Du papier bleu d'azur
Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher
Ils se voient déjà doucement
Elle cousant, lui fumant
Dans un bien-être sûr
Et choisissent les prénoms de leur premier bébé

Refrain
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'foutant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "je t'aime" pathétiques
Ont des p'tites gueules bien sympatiques


Quand la saintefamille machin
Croise sur son chemin
Deux de ces malappris
Elle leur décoche hardiment des propos venimeux
N'empêche que toute la famille
Le père, la mère, la fille
Le fils, le Saint Esprit
Voudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduire comme eux

Refrain
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'foutant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "je t'aime" pathétiques
Ont des p'tites gueules bien sympatiques

Quand les mois auront passé
Quand seront apaisés
Leurs beaux rêves flambants
Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds
Ils s'apercevront émus
Qu' c'est au hasard des rues
Sur un d'ces fameux bancs
Qu'ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour

Refrain
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'foutant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécottent sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "je t'aime" pathétiques
Ont des p'tites gueules bien sympatiques

_______

Edith Piaf "La vie en rose", "Non, je ne regrette rien" et "La foule"

"LA VIE EN ROSE"



Paroles: Edith Piaf 1946
Interpretée par: Céline Dion, Dalida, Diana Kroll, Dopnna Summer, Ella Fitzgerald, Loluis Armstrong, Emile Simon, Franck Pourcel, Grace Jones, Jacqueline François, Joséphine Baker, Marlène Dietrich, Mireille Mathieu, Patachou, Patricia aas, Tohama, Yves Montand, ...
"LA VIE EN ROSE"
Des yeux qui ......... baisser les miens prendre
Un rire qui se .......... sur sa bouche connaître
Voilà, le portrait sans retouche effacer
De l'homme auquel j' ............ dire

5.- REFRAIN
Quand il me .................dans se bras, battre
Il me ...........tout bas, dire
Je .......... la vie en rose. sentir
Il me ........ des mots d'amour, aperçevoir
10.- Des mots de tous les jours,
Et ça me ....... quelque chose. entrer
Il ........ .......... dans mon coeur faire
Une part de bonheur
Dont je............. la cause. voir
15.- C'est lui pour moi, prendre
Moi pour lui dans la vie appartenir
Il me l'.............., l'a juré
Pour la vie
Et dès que je l' ...............

20.- Alors je ................... en moi
Mon coeur qui ...................
Des nuits d'amour à plus finir
Un grand bonheur qui .......... sa place

Des ennuis, des chegrins s' .................
25.- Heureux, heureux à en mourir

REFRAIN

(Autre variante polur le dernier couplet)

Des nuits d'amour a ne plus en finir
Un grand bonheur qui ..........sa place
Les ennuis, les chagrins, des phases
Heureux, heureux a en mourir.
Et d'autres activités: http://platea.pntic.mec.es/~cvera/hotpot/vienrose.htm
"JE NE REGRETTE RIEN"

"JE NE REGRETTE RIEN"
Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
Ni le bien qu'on m'a fait
Ni le mal tout ça m'est bien égal !

Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
C'est payé, balayé, oublié
Je me fous du passé !

Avec mes souvenirs
J'ai allumé le feu
Mes chagrins, mes plaisirs
Je n'ai plus besoin d'eux !

Balayées les amours
Et tous leurs trémolos
Balayés pour toujours
Je repars à zéro

Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
Ni le bien, qu'on m'a fait
Ni le mal, tout ça m'est bien égal !

Non ! Rien de rien
Non ! Je ne regrette rien
Car ma vie, car mes joies
Aujourd'hui, ça commence avec toi !
Una activité en:http://platea.pntic.mec.es/~cvera/hotpot/rienderien.htm
"LA FOULE"


"LA FOULE"
Je revois la ville en fête et en délire
Suffoquant sous le soleil et sous la joie
Et j'entends dans la musique les cris, les rires
Qui éclatent et rebondissent autour de moi
Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
Étourdie, désemparée, je reste là
Quand soudain, je me retourne, il se recule,
Et la foule vient me jeter entre ses bras...

Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux.

Entraînés par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Nos deux mains restent soudées
Et parfois soulevés
Nos deux corps enlacés s'envolent
Et retombent tous deux
Épanouis, enivrés et heureux...

Et la joie éclaboussée par son sourire
Me transperce et rejaillit au fond de moi
Mais soudain je pousse un cri parmi les rires
Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...

Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Nous éloigne l'un de l'autre
Je lutte et je me débats
Mais le son de sa voix
S'étouffe dans les rires des autres
Et je crie de douleur, de fureur et de rage
Et je pleure...

Entraînée par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Je suis emportée au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
L'homme qu'elle m'avait donné
Et que je n'ai jamais retrouvé...

Maurice Chevalier "Ma pomme"



"MA POMME"

J'suis p't'êtr' pas connu dans la noblesse
Ni chez les snobards.
Quand on veut m'trouver faut qu'on s'adresse
Dans tous les p'tits bars...
Et sur les ardois's des bistrots,
L'tabac du coin c'est mon palac
Où le soir je r'trouv' les poteaux.

{Refrain:}
Ma pomme
C'est moi...
J'suis plus heureux qu'un roi
Je n'me fais jamais d'mousse.
Sans s'cousse,
Je m'pousse.
Les hommes
Je l'crois,
S'font du souci, pourquoi ?
Car pour être heureux comme
Ma pommE
Ma pomme,
Il suffit d'être en somme
Aussi peinard que moi
J'suis un typ' vraiment des plus natures
J'ignor' le chiqué.
Arien fair' la vie est assez dure
Sans la compliquer.
Je n'comprends pas qu'on se démanche
Quand on a tant besoin d'repos...
Y en a qui turbin'nt le dimanche,
Comment que j'leur tir' mon chapeau.
Les femm's y m'en faut comme à tout l'monde
Mais j'm'embarass' pas.
Quand j'désire un' brune ou une blonde,
Je choisis dans l'tas.
Comm' j'ai pas d'pèz' je m'sens à l'aise
Pour leur promettr' tout c'qui leur plaît...
Mais quand j'en pinc' je suis bon prince,
En partant, j'leur laiss'... mon portrait.
{Dernier Refrain:}
Ma pomme,
C'est moi...
J'suis aimé comme un roi
Je n'me fais jamais d'mousse.
Sans s'cousse,
Je m'pousse.
Un homme
Adroit,
En amour fait la loi.
Pour être gobé comme,
Ma pomme,
Ma pomme,
Il suffit d'être en somme
Aussi beau goss' que moi.

Yves Montand et Edith Piaf "Sous le ciel de Paris"

"SOUS LE CIEL DE PARIS"

http://youtu.be/ZWcz-U2IIvc
"SOUS LE CIEL DE PARIS"
Sous Le Ciel De Paris
Sous le ciel de Paris
S'envole une chanson
Hum Hum
Elle est née d'aujourd'hui
Dans le cœur d'un garçon
Sous le ciel de Paris
Marchent des amoureux
Hum Hum
Leur bonheur se construit
Sur un air fait pour eux

Sous le pont de Bercy
Un philosophe assis
Deux musiciens quelques badauds
Puis les gens par milliers
Sous le ciel de Paris
Jusqu'au soir vont chanter
Hum Hum
L'hymne d'un peuple épris
De sa vieille cité

Près de Notre Dame
Parfois couve un drame
Oui mais à Paname
Tout peut s'arranger
Quelques rayons
Du ciel d'été
L'accordéon
D'un marinier
L'espoir fleurit
Au ciel de Paris

Sous le ciel de Paris
Coule un fleuve joyeux
Hum Hum
Il endort dans la nuit
Les clochards et les gueux
Sous le ciel de Paris
Les oiseaux du Bon Dieu
Hum Hum
Viennent du monde entier
Pour bavarder entre eux

Et le ciel de Paris
A son secret pour lui
Depuis vingt siècles il est épris
De notre Ile Saint Louis
Quand elle lui sourit
Il met son habit bleu
Hum Hum
Quand il pleut sur Paris
C'est qu'il est malheureux
Quand il est trop jaloux
De ses millions d'amants
Hum Hum
Il fait gronder sur nous
Son tonnerr' éclatant
Mais le ciel de Paris
N'est pas longtemps cruel
Hum Hum
Pour se fair' pardonner
Il offre un arc en ciel